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6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 15:11
les compagnons de traversées
les compagnons de traversées

Nos visas de Cuba ont expirés et nous partons pour le Guatemala.

Papier de sortie fait nous faisons une petite halte en cours de route dans un endroit isolé et décidons à la dernière minute de passer par le Honduras. Mer d’abord bien agitée puis pétole et brise Volvo pendant des heures avec l'alarme moteur qui somme quasiment sans arrêt (nous pensions avoir trouvé la raison de cet alarme: pb de pression d'huile, circulation d'eau de mer insuffisante à cause des méduses dans le filtre, impeller changé ou pb électrique????).

En arrivant au Honduras nous faisons notre entrée quand le douanier nous dit qu’il y a un problème ??? En fait nous avions indiqué à notre départ de Cuba, que notre prochaine destination était Le Guatemala. Palabres, téléphone… nous expliquons que nous avons un problème de moteur, que le moteur chauffe et que nous devons changer la sonde, peut être changer l’impeller, faire la vidange ou trouver la cause électrique au risque d’endommager notre moteur.

Après palabres avec les autorités, nous sommes accueillis au Honduras.

Guanaja, la capitale, elle est installée sur une île minuscule de la grande île, son centre est de terre ferme et le tour assez large est sur pilotis. Il y avait tant de moustiques et nonos qu'ils ont déplacé ce village sur cette petite île.  Cette ville est très animée à l'époque où la pêche à la langouste est autorisée.Guanaja, la capitale, elle est installée sur une île minuscule de la grande île, son centre est de terre ferme et le tour assez large est sur pilotis. Il y avait tant de moustiques et nonos qu'ils ont déplacé ce village sur cette petite île.  Cette ville est très animée à l'époque où la pêche à la langouste est autorisée.
Guanaja, la capitale, elle est installée sur une île minuscule de la grande île, son centre est de terre ferme et le tour assez large est sur pilotis. Il y avait tant de moustiques et nonos qu'ils ont déplacé ce village sur cette petite île.  Cette ville est très animée à l'époque où la pêche à la langouste est autorisée.Guanaja, la capitale, elle est installée sur une île minuscule de la grande île, son centre est de terre ferme et le tour assez large est sur pilotis. Il y avait tant de moustiques et nonos qu'ils ont déplacé ce village sur cette petite île.  Cette ville est très animée à l'époque où la pêche à la langouste est autorisée.

Guanaja, la capitale, elle est installée sur une île minuscule de la grande île, son centre est de terre ferme et le tour assez large est sur pilotis. Il y avait tant de moustiques et nonos qu'ils ont déplacé ce village sur cette petite île. Cette ville est très animée à l'époque où la pêche à la langouste est autorisée.

On parle majoritairement anglais sur ces îles bien que l'espagnol soit la norme sur le continent. Un héritage de la colonisation britanique.  Les honduriens sont métissés, d'origine espagnole et indienne.On parle majoritairement anglais sur ces îles bien que l'espagnol soit la norme sur le continent. Un héritage de la colonisation britanique.  Les honduriens sont métissés, d'origine espagnole et indienne.

On parle majoritairement anglais sur ces îles bien que l'espagnol soit la norme sur le continent. Un héritage de la colonisation britanique. Les honduriens sont métissés, d'origine espagnole et indienne.

Honduras c’est magnifique, la barrière de corail est très belle, le dernier ouragan Mitch remonte à 17 ans et a détruit 80% l'île, le corail a repris vie et a végétation ses droits depuis 1998. La barrière de corail est très importante, l’eau est très claire et simplement avec un masque et un tuba c’est sublime. Cela nous rassure pour les autres endroits de la mer des Caraïbes où le corail est si abimé par les cyclones. Nous redécouvrons le dollar, les supermarchés plein de tout et même des yaourts nature sans sucre, c’est fou nous sommes ébahis. La vie y est assez cher, c’est une destination économique disent-ils pour les stages de plongée, plein de jeunes.

HondurasHonduras
HondurasHonduras

Roatan et Utila, lieux phares de la plongée. Charmante petite ile où les club de plongée se succèdent, où les jeunes déambulent et se promènent en quad.

HondurasHonduras
Honduras

Du Honduras nous faisons un stop sur la côte avant d’arriver à Livingston du Guatemala

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5 mars 2016 6 05 /03 /mars /2016 16:31

Cayo Campo avec Papu et Roland

Le Cayos largo, cette année aura été un peu charter familiale et les rendez vous pas toujours faciles. Des billets d’avions acheté en France ne peuvent être utilisé car la compagnie ne fait plus la liaison, des billets achetés sur place ne sont délivrés que quelques heures avant car on ne sait jamais si en fait il y a l’avion ou s’il est cloué au sol pour raisons mécaniques. Il faudra s’armer de patience, réclamer, attendre le bon vouloir de … qui ? de… quoi ?? Mais pour se retrouver et organiser la suite du voyage cela peut devenir un vrai casse tête et ce fut le cas plusieurs fois.

Quelle récompense d’arriver à Cayo Largo, nous nous demandons si nous sommes encore à Cuba ou sur une Ile des Caraïbes, du sable blanc à perte de vue, des eaux turquoises, des fonds magnifiques.. et envahie de touristes de toutes nationalités (sauf les asiatiques). Les cubains n'ont pas les moyens de prendre des vacances comme les occidentaux.

Cuba, Cayo largo.Cuba, Cayo largo.Cuba, Cayo largo.

C’est là que nous pouvons naviguer dans 2 mètres d’eau, nager dans des eaux incroyablement claires, poissonneuses et coralliennes, où les langoustes ont élues domicile à tous les coins de patates et sous les plaques posées par les pêcheurs pour les attirer (ils déposent au fond de l’eau des palettes, les langoustes viennent s’y cacher et lorsqu’on soulève ces palettes les langoustes sortent de tous côté)

Cuba, Cayo largo.Cuba, Cayo largo.Cuba, Cayo largo.

Les pêcheurs viennent pour la nuit s’ancrer près du bateau et viennent nous accueillir chez eux, chargés de langoustes et poisson. Il n’attendent rien en échange, juste un peu parler et bien entendu il s’effectue une sorte de troc et nous les comblons de petits cadeaux. Pas d’histoire d’argent et impossible de refuser ce serait un déshonneur. Nous ne vous disons même pas mais nous avons du faire des conserves de langoustes pour nos prochaines navigations, tant nous en avons eu.

Les cayos sont dans une zone de réserve naturelle. Sur chaque cayo il y  3 gardiens à terre qui y vivent  et qui sont relayés tous les mois. Leur tâhe princiale  est l'entretien et la surveillance contre le braconage  de crocodile, macaque et "jutias" (entre marmotte et rat). Ils sont totalement autonome, vivent de la pêche, les langoustes, de cochons et poules. Il ont de l'eau grace à des puits d'eau douce ou saumatre.  Nous avons partagé des moments inoublables avec eux.  Impossible de refuser leur accueil et nous restons déjeuner avec eux, nous n’avions que 3 langoustes par personne. Bien sur nous avons prtagé ce que nous avions avec ce qu'ils avaient. On n'a plus envie de repartir.Les cayos sont dans une zone de réserve naturelle. Sur chaque cayo il y  3 gardiens à terre qui y vivent  et qui sont relayés tous les mois. Leur tâhe princiale  est l'entretien et la surveillance contre le braconage  de crocodile, macaque et "jutias" (entre marmotte et rat). Ils sont totalement autonome, vivent de la pêche, les langoustes, de cochons et poules. Il ont de l'eau grace à des puits d'eau douce ou saumatre.  Nous avons partagé des moments inoublables avec eux.  Impossible de refuser leur accueil et nous restons déjeuner avec eux, nous n’avions que 3 langoustes par personne. Bien sur nous avons prtagé ce que nous avions avec ce qu'ils avaient. On n'a plus envie de repartir.Les cayos sont dans une zone de réserve naturelle. Sur chaque cayo il y  3 gardiens à terre qui y vivent  et qui sont relayés tous les mois. Leur tâhe princiale  est l'entretien et la surveillance contre le braconage  de crocodile, macaque et "jutias" (entre marmotte et rat). Ils sont totalement autonome, vivent de la pêche, les langoustes, de cochons et poules. Il ont de l'eau grace à des puits d'eau douce ou saumatre.  Nous avons partagé des moments inoublables avec eux.  Impossible de refuser leur accueil et nous restons déjeuner avec eux, nous n’avions que 3 langoustes par personne. Bien sur nous avons prtagé ce que nous avions avec ce qu'ils avaient. On n'a plus envie de repartir.
Les cayos sont dans une zone de réserve naturelle. Sur chaque cayo il y  3 gardiens à terre qui y vivent  et qui sont relayés tous les mois. Leur tâhe princiale  est l'entretien et la surveillance contre le braconage  de crocodile, macaque et "jutias" (entre marmotte et rat). Ils sont totalement autonome, vivent de la pêche, les langoustes, de cochons et poules. Il ont de l'eau grace à des puits d'eau douce ou saumatre.  Nous avons partagé des moments inoublables avec eux.  Impossible de refuser leur accueil et nous restons déjeuner avec eux, nous n’avions que 3 langoustes par personne. Bien sur nous avons prtagé ce que nous avions avec ce qu'ils avaient. On n'a plus envie de repartir.Les cayos sont dans une zone de réserve naturelle. Sur chaque cayo il y  3 gardiens à terre qui y vivent  et qui sont relayés tous les mois. Leur tâhe princiale  est l'entretien et la surveillance contre le braconage  de crocodile, macaque et "jutias" (entre marmotte et rat). Ils sont totalement autonome, vivent de la pêche, les langoustes, de cochons et poules. Il ont de l'eau grace à des puits d'eau douce ou saumatre.  Nous avons partagé des moments inoublables avec eux.  Impossible de refuser leur accueil et nous restons déjeuner avec eux, nous n’avions que 3 langoustes par personne. Bien sur nous avons prtagé ce que nous avions avec ce qu'ils avaient. On n'a plus envie de repartir.Les cayos sont dans une zone de réserve naturelle. Sur chaque cayo il y  3 gardiens à terre qui y vivent  et qui sont relayés tous les mois. Leur tâhe princiale  est l'entretien et la surveillance contre le braconage  de crocodile, macaque et "jutias" (entre marmotte et rat). Ils sont totalement autonome, vivent de la pêche, les langoustes, de cochons et poules. Il ont de l'eau grace à des puits d'eau douce ou saumatre.  Nous avons partagé des moments inoublables avec eux.  Impossible de refuser leur accueil et nous restons déjeuner avec eux, nous n’avions que 3 langoustes par personne. Bien sur nous avons prtagé ce que nous avions avec ce qu'ils avaient. On n'a plus envie de repartir.

Les cayos sont dans une zone de réserve naturelle. Sur chaque cayo il y 3 gardiens à terre qui y vivent et qui sont relayés tous les mois. Leur tâhe princiale est l'entretien et la surveillance contre le braconage de crocodile, macaque et "jutias" (entre marmotte et rat). Ils sont totalement autonome, vivent de la pêche, les langoustes, de cochons et poules. Il ont de l'eau grace à des puits d'eau douce ou saumatre. Nous avons partagé des moments inoublables avec eux. Impossible de refuser leur accueil et nous restons déjeuner avec eux, nous n’avions que 3 langoustes par personne. Bien sur nous avons prtagé ce que nous avions avec ce qu'ils avaient. On n'a plus envie de repartir.

Cayo Rosario, l'axe du moteur est réparé. Que nous y sommes bien.Cayo Rosario, l'axe du moteur est réparé. Que nous y sommes bien.Cayo Rosario, l'axe du moteur est réparé. Que nous y sommes bien.

Cayo Rosario, l'axe du moteur est réparé. Que nous y sommes bien.

Cayo Largo et ses ilesCayo Largo et ses iles
Cayo Largo et ses ilesCayo Largo et ses iles

Cayo Largo et ses iles

Une autre fois en arrivant nous retrouvons un garçon que nous avions déjà rencontré et celui ci essayait de réparer l’hélice de leur bateau. Nous sommes revenus avec perceuse, goupilles et de quoi bricoler. Avec deux mains, en quelques minutes le bateau était en état de marche. Chacun rentrant chez soi pour la soirée. Une heure plus tard ils revenaient à bord, le bateau plein de langoustes et poisson pour les trois bateaux qui étaient au mouillage. Oui c’est bien grâce à notre matériel que leur bateau remarche et ils ont une reconnaissance absolue. A chacun de nos passages nous avons été accueilli comme des rois. Dur de partir d’un tel endroit.

Cuba, Cayo largo.Cuba, Cayo largo.Cuba, Cayo largo.

Nous retournons à Cienfuego pour déposer nos enfants et lorsque nous mettons l’ancre à l'eau, celle ci se détache, un grand « ploc », des éclaboussures et une chaîne toute molle sans rien au bout. Une pirouette pour mettre une autre ancre et décider de ce que nous allons faire. La Rocna de 33 kilos est par 6 mètres de fond. Dans l’excitation nous ne sommes pas exactement certain de l'exactitude de sa position et les fonds sont si sales qu’on ne voit pas le fond. Chacun estime sa position et nous délimitons un quadrillage pour faire plonger le lendemain matin quelqu’un. Après une matinée infructueuse nous nous concertons et décidons que c’est un peu plus en arrière de ce quadrillage. Le lendemain il la retrouvera rapidement. Ouff le capitaine était bien ennuyé car cette ancre ne nous a jamais fait défaut. Nous avions une attache sophistiquée et solide, la sécurité du manillon à cassé et le manillon à laissé s’échapper l’ancre. Tout est à poste actuellement.

Cette ancre Rocna de 33 kilos est la meilleure que nous n'ayons jamais eu. La manille pivotante est d'une qualité extraordinaire.  Il y aurait juste une sécurité qui bloque le manillon qui a du se casser. On sait, pour l'avoir expérimenté que l'inox se casse comme du verre quand il en a décidé. Cette ancre Rocna de 33 kilos est la meilleure que nous n'ayons jamais eu. La manille pivotante est d'une qualité extraordinaire.  Il y aurait juste une sécurité qui bloque le manillon qui a du se casser. On sait, pour l'avoir expérimenté que l'inox se casse comme du verre quand il en a décidé. Cette ancre Rocna de 33 kilos est la meilleure que nous n'ayons jamais eu. La manille pivotante est d'une qualité extraordinaire.  Il y aurait juste une sécurité qui bloque le manillon qui a du se casser. On sait, pour l'avoir expérimenté que l'inox se casse comme du verre quand il en a décidé.

Cette ancre Rocna de 33 kilos est la meilleure que nous n'ayons jamais eu. La manille pivotante est d'une qualité extraordinaire. Il y aurait juste une sécurité qui bloque le manillon qui a du se casser. On sait, pour l'avoir expérimenté que l'inox se casse comme du verre quand il en a décidé.

Cuba n’est pas une destination facile pour tout le monde. Pour notre part nous avons adoré y rester deux mois et demie. Il faut faire prolonger son visa chaque mois, dire d’où nous venons et où nous irons, l’avitaillement n’est pas très simple mais il y a la pêche. En fait on trouve fruits, légumes, pain, lait, etc quand le bateau est passé et quand les commerces ont mit à la vente ce qui est arrivé. c'est fréquent passer 5 jours avec un magasin vide de chez vide. Il faut avoir absolument tout prévu avant d’arriver à Cuba.

« Cuba time » est une devise obligatoire, s’asseoir, attendre, ne pas faire trop de remous et être très gentil aide à obtenir ce que l’on cherche … pas toujours. S’armer de patience, les regarder faire la queue pour tout, devant les magasins, les banque, les administrations. C’est eux qui décident et pas VOUS.« Cuba time » est une devise obligatoire, s’asseoir, attendre, ne pas faire trop de remous et être très gentil aide à obtenir ce que l’on cherche … pas toujours. S’armer de patience, les regarder faire la queue pour tout, devant les magasins, les banque, les administrations. C’est eux qui décident et pas VOUS.« Cuba time » est une devise obligatoire, s’asseoir, attendre, ne pas faire trop de remous et être très gentil aide à obtenir ce que l’on cherche … pas toujours. S’armer de patience, les regarder faire la queue pour tout, devant les magasins, les banque, les administrations. C’est eux qui décident et pas VOUS.

« Cuba time » est une devise obligatoire, s’asseoir, attendre, ne pas faire trop de remous et être très gentil aide à obtenir ce que l’on cherche … pas toujours. S’armer de patience, les regarder faire la queue pour tout, devant les magasins, les banque, les administrations. C’est eux qui décident et pas VOUS.

Nos visas expirent et nous partons pour le Guatemala

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4 mars 2016 5 04 /03 /mars /2016 08:55
Cuba, Trinidad.

Trinidad, elle nous reconduit à ses origines d’un bourg agricole dans ces années de la colonisation espagnoles et de ses richesses grâce à la canne à sucre.

Vieilles maisons basses colorées aux toits de tuiles et aux grilles majestueuses, aux fenêtres où des barreaux de bois colorés laissent les courants d’air rafraichir les patios (climatisation naturelle), c'est une merveille esthétique.

Sol Ananda est une maison familiale qui a été transformée en restaurant, c'est une maison typique des années des richesses espagnoles, lustre en cristal, assiétes en porcelaine dorées ou de Sevre, couverts  et  ronds de serviettes en argent , cuisine des spécialités cubaines. On déjeune ou dîne dans toutes les pièces de la maison, la cave à vin est sur un lit dans une chambre, les plafonds sont en cèdre très travaillés, les meubles de l'époque et lits d'origine sont restés à leurs place dan les chambres. Quel art! Sol Ananda est une maison familiale qui a été transformée en restaurant, c'est une maison typique des années des richesses espagnoles, lustre en cristal, assiétes en porcelaine dorées ou de Sevre, couverts  et  ronds de serviettes en argent , cuisine des spécialités cubaines. On déjeune ou dîne dans toutes les pièces de la maison, la cave à vin est sur un lit dans une chambre, les plafonds sont en cèdre très travaillés, les meubles de l'époque et lits d'origine sont restés à leurs place dan les chambres. Quel art! Sol Ananda est une maison familiale qui a été transformée en restaurant, c'est une maison typique des années des richesses espagnoles, lustre en cristal, assiétes en porcelaine dorées ou de Sevre, couverts  et  ronds de serviettes en argent , cuisine des spécialités cubaines. On déjeune ou dîne dans toutes les pièces de la maison, la cave à vin est sur un lit dans une chambre, les plafonds sont en cèdre très travaillés, les meubles de l'époque et lits d'origine sont restés à leurs place dan les chambres. Quel art!

Sol Ananda est une maison familiale qui a été transformée en restaurant, c'est une maison typique des années des richesses espagnoles, lustre en cristal, assiétes en porcelaine dorées ou de Sevre, couverts et ronds de serviettes en argent , cuisine des spécialités cubaines. On déjeune ou dîne dans toutes les pièces de la maison, la cave à vin est sur un lit dans une chambre, les plafonds sont en cèdre très travaillés, les meubles de l'époque et lits d'origine sont restés à leurs place dan les chambres. Quel art!

Les maisons laissent leurs volets ouverts et vous pouvez laisser votre regard s’échapper à travers ces barrots de bois colorés ou barreaux d'acier peints.

Cuba, Trinidad.Cuba, Trinidad.
Cuba, Trinidad.Cuba, Trinidad.

Dans ces maisons d’un charme fou, on trouve un enfant accroché aux barreaux des fenêtres sans vitre, un homme assis sur les marches de sa demeure à regarder les passants, un homme avec sa mule qui transporte des marchandises ou une livraison, un musicien sa contrebasse dans les bras....... et nous, nous restons ouvert à tout ce que nous recevons.

Les rues sont pavées de cailloux chauves et les carrioles à cheval font chanter leurs sabots.Les rues sont pavées de cailloux chauves et les carrioles à cheval font chanter leurs sabots.
Les rues sont pavées de cailloux chauves et les carrioles à cheval font chanter leurs sabots.Les rues sont pavées de cailloux chauves et les carrioles à cheval font chanter leurs sabots.

Les rues sont pavées de cailloux chauves et les carrioles à cheval font chanter leurs sabots.

Quand la soirée approche les groupes de musique envahissent les patios, tonnelles, cafés, escaliers, places et coins de rue, les touristes se mettent à danser la salsa, la rumba, avec ce déhanchement sensuel. C’est un vrai bonheur que de les regarder ou de se faire entrainer par un cubain qui est si fier de vous le faire partager.

Comme dans tous les pays du monde, ils jouent pour les passants. les rythmes sont doux, ils vibrent  au son du Buena Vista Social Club et du mambo de Benny More. "Hasta siempre  Che Guevara"  est joué autant pour eux que pour nous. Dans les écoles de musique ou maison de la culture nous avons écouté des groupes exceptionnels.   Cuba, terre fondatrice de la salsa ! les corps résonne encore au rythme de la clave.    Parfois un petit groupe de musiciens se rassemble sur une place, dans une rue ou le long de la grève. Quelques uns d’abord, puis de nouveaux se mêlent avec un nouvel instrument. Avec à chaque fois ce sourire, ce naturel désarmant de pouvoir s'exprimer par la musique.Comme dans tous les pays du monde, ils jouent pour les passants. les rythmes sont doux, ils vibrent  au son du Buena Vista Social Club et du mambo de Benny More. "Hasta siempre  Che Guevara"  est joué autant pour eux que pour nous. Dans les écoles de musique ou maison de la culture nous avons écouté des groupes exceptionnels.   Cuba, terre fondatrice de la salsa ! les corps résonne encore au rythme de la clave.    Parfois un petit groupe de musiciens se rassemble sur une place, dans une rue ou le long de la grève. Quelques uns d’abord, puis de nouveaux se mêlent avec un nouvel instrument. Avec à chaque fois ce sourire, ce naturel désarmant de pouvoir s'exprimer par la musique.
Comme dans tous les pays du monde, ils jouent pour les passants. les rythmes sont doux, ils vibrent  au son du Buena Vista Social Club et du mambo de Benny More. "Hasta siempre  Che Guevara"  est joué autant pour eux que pour nous. Dans les écoles de musique ou maison de la culture nous avons écouté des groupes exceptionnels.   Cuba, terre fondatrice de la salsa ! les corps résonne encore au rythme de la clave.    Parfois un petit groupe de musiciens se rassemble sur une place, dans une rue ou le long de la grève. Quelques uns d’abord, puis de nouveaux se mêlent avec un nouvel instrument. Avec à chaque fois ce sourire, ce naturel désarmant de pouvoir s'exprimer par la musique.Comme dans tous les pays du monde, ils jouent pour les passants. les rythmes sont doux, ils vibrent  au son du Buena Vista Social Club et du mambo de Benny More. "Hasta siempre  Che Guevara"  est joué autant pour eux que pour nous. Dans les écoles de musique ou maison de la culture nous avons écouté des groupes exceptionnels.   Cuba, terre fondatrice de la salsa ! les corps résonne encore au rythme de la clave.    Parfois un petit groupe de musiciens se rassemble sur une place, dans une rue ou le long de la grève. Quelques uns d’abord, puis de nouveaux se mêlent avec un nouvel instrument. Avec à chaque fois ce sourire, ce naturel désarmant de pouvoir s'exprimer par la musique.
Comme dans tous les pays du monde, ils jouent pour les passants. les rythmes sont doux, ils vibrent  au son du Buena Vista Social Club et du mambo de Benny More. "Hasta siempre  Che Guevara"  est joué autant pour eux que pour nous. Dans les écoles de musique ou maison de la culture nous avons écouté des groupes exceptionnels.   Cuba, terre fondatrice de la salsa ! les corps résonne encore au rythme de la clave.    Parfois un petit groupe de musiciens se rassemble sur une place, dans une rue ou le long de la grève. Quelques uns d’abord, puis de nouveaux se mêlent avec un nouvel instrument. Avec à chaque fois ce sourire, ce naturel désarmant de pouvoir s'exprimer par la musique.Comme dans tous les pays du monde, ils jouent pour les passants. les rythmes sont doux, ils vibrent  au son du Buena Vista Social Club et du mambo de Benny More. "Hasta siempre  Che Guevara"  est joué autant pour eux que pour nous. Dans les écoles de musique ou maison de la culture nous avons écouté des groupes exceptionnels.   Cuba, terre fondatrice de la salsa ! les corps résonne encore au rythme de la clave.    Parfois un petit groupe de musiciens se rassemble sur une place, dans une rue ou le long de la grève. Quelques uns d’abord, puis de nouveaux se mêlent avec un nouvel instrument. Avec à chaque fois ce sourire, ce naturel désarmant de pouvoir s'exprimer par la musique.

Comme dans tous les pays du monde, ils jouent pour les passants. les rythmes sont doux, ils vibrent au son du Buena Vista Social Club et du mambo de Benny More. "Hasta siempre Che Guevara" est joué autant pour eux que pour nous. Dans les écoles de musique ou maison de la culture nous avons écouté des groupes exceptionnels. Cuba, terre fondatrice de la salsa ! les corps résonne encore au rythme de la clave. Parfois un petit groupe de musiciens se rassemble sur une place, dans une rue ou le long de la grève. Quelques uns d’abord, puis de nouveaux se mêlent avec un nouvel instrument. Avec à chaque fois ce sourire, ce naturel désarmant de pouvoir s'exprimer par la musique.

Nous avons beaucoup de chance, il n'y a pas grand monde à Trinidad aujourd'hui et nous avons le sentiment que ces lieux ont été uniquement pour nous, des privilégiés.

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3 mars 2016 4 03 /03 /mars /2016 12:54
Cuba, Vignales

Vignales, quel spectacle ! incroyable relief, les « mogotes » (formations karstique proches de celles de Thaïlande mais qui ont formé d’immenses caves par érosions souterraines) et les champs de tabac, les bohios en bois pour faire sécher les feuilles de tabac et ces personnages rustiques qui roulent leurs cigares pour vous les offrir. Nous avons retrouvé Saydel qui nous a fait partager son pays, sa culture, ses héritages et ses doutes, nous sommes repartis très émus de ce moment à Vignales.

Plantation et séchage de tabac avec Saydel qui a partagé notre séjour à Vignales. Plantation et séchage de tabac avec Saydel qui a partagé notre séjour à Vignales.
Plantation et séchage de tabac avec Saydel qui a partagé notre séjour à Vignales. Plantation et séchage de tabac avec Saydel qui a partagé notre séjour à Vignales. Plantation et séchage de tabac avec Saydel qui a partagé notre séjour à Vignales.

Plantation et séchage de tabac avec Saydel qui a partagé notre séjour à Vignales.

Séchage des feuilles de tabac dans un bohio, conservation des feuilles avant le roulage et la degustation.Séchage des feuilles de tabac dans un bohio, conservation des feuilles avant le roulage et la degustation.Séchage des feuilles de tabac dans un bohio, conservation des feuilles avant le roulage et la degustation.
Séchage des feuilles de tabac dans un bohio, conservation des feuilles avant le roulage et la degustation.Séchage des feuilles de tabac dans un bohio, conservation des feuilles avant le roulage et la degustation.Séchage des feuilles de tabac dans un bohio, conservation des feuilles avant le roulage et la degustation.

Séchage des feuilles de tabac dans un bohio, conservation des feuilles avant le roulage et la degustation.

Nous avions loué de France une voiture à la Havanne sans chauffeur. Les formalités, récupérer notre voiture n’a pas été une mince affaire, la matinée nous a juste suffi à récupérer les papiers, une roue de secours et l’autorisation de partir (nous avons quand même crevé 2 fois). Avec nos IPad et une cartographie à jour nous nous sommes assez bien dirigés. Sur les routes nous n’avions pas tout compris au départ. De temps en temps on vous siffle, soit pour vous faire stopper et embarquer quelqu’un, soit pour vous faire croire qu’ils sont de la Police soit tout simplement pour vous proposer leurs services mais avec un bon degré d’insistance. Après quelques heures de route, nous ne ralentissions même plus. Par manque de transport en commun, sur le bord des routes, sous les ponts à l’ombre on vous tend des billets de pessos pour vous demander du covoiturage et cela marche très bien.

Lemanque de transports en commun oblige les cubains  à voyages en "botellas" ou "faire la bouteille" ou plus communément de l'autostop. La raison est que pour les cubains il est bien diffcile d'acquérir une automobile, dossier comliqué et prix exorbitant, aussi existe-t-il une soldariré entre cubains qui n'est pas gratuite. Blabacar n'est rien d'autre. Quelques pesos à la main pour trouver une voiture et tos y trovent leur compte..Lemanque de transports en commun oblige les cubains  à voyages en "botellas" ou "faire la bouteille" ou plus communément de l'autostop. La raison est que pour les cubains il est bien diffcile d'acquérir une automobile, dossier comliqué et prix exorbitant, aussi existe-t-il une soldariré entre cubains qui n'est pas gratuite. Blabacar n'est rien d'autre. Quelques pesos à la main pour trouver une voiture et tos y trovent leur compte..Lemanque de transports en commun oblige les cubains  à voyages en "botellas" ou "faire la bouteille" ou plus communément de l'autostop. La raison est que pour les cubains il est bien diffcile d'acquérir une automobile, dossier comliqué et prix exorbitant, aussi existe-t-il une soldariré entre cubains qui n'est pas gratuite. Blabacar n'est rien d'autre. Quelques pesos à la main pour trouver une voiture et tos y trovent leur compte..

Lemanque de transports en commun oblige les cubains à voyages en "botellas" ou "faire la bouteille" ou plus communément de l'autostop. La raison est que pour les cubains il est bien diffcile d'acquérir une automobile, dossier comliqué et prix exorbitant, aussi existe-t-il une soldariré entre cubains qui n'est pas gratuite. Blabacar n'est rien d'autre. Quelques pesos à la main pour trouver une voiture et tos y trovent leur compte..

Au départs des bus collectifs ou des bétaillères transformées en transport de personnes vous trouvez aussi des taxis communs et ce n’est pas cher ; quelques détours pour déposer les uns et les autres mais vous êtes dans le jus de la vie cubaine.

anciennes bétaillères amménagées avec des bancs, bibis-taxis,  charrettes à cheval, camions, taxis des année 50,  taxis inofficiels ou partcular.anciennes bétaillères amménagées avec des bancs, bibis-taxis,  charrettes à cheval, camions, taxis des année 50,  taxis inofficiels ou partcular.
anciennes bétaillères amménagées avec des bancs, bibis-taxis,  charrettes à cheval, camions, taxis des année 50,  taxis inofficiels ou partcular.anciennes bétaillères amménagées avec des bancs, bibis-taxis,  charrettes à cheval, camions, taxis des année 50,  taxis inofficiels ou partcular.
anciennes bétaillères amménagées avec des bancs, bibis-taxis,  charrettes à cheval, camions, taxis des année 50,  taxis inofficiels ou partcular.anciennes bétaillères amménagées avec des bancs, bibis-taxis,  charrettes à cheval, camions, taxis des année 50,  taxis inofficiels ou partcular.

anciennes bétaillères amménagées avec des bancs, bibis-taxis, charrettes à cheval, camions, taxis des année 50, taxis inofficiels ou partcular.

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1 mars 2016 2 01 /03 /mars /2016 13:36
A la Havane, il faut s'installer dans une décapotable, aller faire un tour sur le Malécon, profiter des palais délabrés et rêver de ces années de faste, humer l'air de la mer du Golfe, aller prendre en mojito en écotant de la musique, se laisser porter et aller dans cette ville pleine de tendresse.A la Havane, il faut s'installer dans une décapotable, aller faire un tour sur le Malécon, profiter des palais délabrés et rêver de ces années de faste, humer l'air de la mer du Golfe, aller prendre en mojito en écotant de la musique, se laisser porter et aller dans cette ville pleine de tendresse.

A la Havane, il faut s'installer dans une décapotable, aller faire un tour sur le Malécon, profiter des palais délabrés et rêver de ces années de faste, humer l'air de la mer du Golfe, aller prendre en mojito en écotant de la musique, se laisser porter et aller dans cette ville pleine de tendresse.

Magnifique ces  voitures de collection, nous en avons plein les yeux.
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La Havane, c’est une ville de tous les paradoxes, se côtoient luxe et délabrement. En dépit que depuis plus de 50 ans elle se délabre et s’étiole, elle se fait ronger par la moiteur tropicale et les décennies de pénuries, elle garde sont élégance et le souvenir de son faste, de sa grandeur, de sa beauté, quel doux mélange.

A la Havane il faut se promener sans guide, le nez en l'air. Jeter un coup d’œil dans les patios, pousser une porte, admirer les façades, découvrir les perspectives. C'est immense et toutes les rues regorgent de merveilles architecturales baroques, néo-classique et art nouveau. C'est un véritable musée à ciel ouvert.

Il faut savoir s'abstraire de l'état général de délabrement pour imaginer les choses dans leur état originel. Le témoignage des quelques endroits réhabilités dans le centre historique y aide puissamment. La profusion d'objets architecturaux intéressants est proprement hallucinante.

Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane
Cuba, La Havane

Pour les habaneros, la vie est rude, ils doivent jouer de la débrouille, du bricolage, du rafistolage, ce sont des réparateurs de génie capables de redonner vie à ce que les sociétés de consommation jetteraient. A chaque coin de rue on invente des petits métiers comme réparateurs de parapluies, fabricants de balais, remplisseurs de briques jetables,....."dans un autre pays on les jette quand il n'y a plus de gaz. Ici on fait un petit trou, on rempli et on rebouche avec une tête d'épingle" Tous ces articles ne sont pas disponibles dans le commerce ou alors à des prix exorbitants.

Les petits métiers de rue pour arrondir les fins de mois. Les cubains ont souvent deux métiers, un infirmier à l'hopital sera taxi avec un bibis-taxis qu'il partagera avec un frère. Aujourd’hui les cartes de rationnement existent toujours pour une grande partie de la population, les salariés sont ceux de l’état,  les salaires dérisoires, les entreprises appartiennent à l’Etat, les richesses pour la plus grande partie sont réparties, redistribuées. Cette société est si contrôlée  par ce Parti Unique depuis plus d’un demi siècle qu'ils ne peuvent vivre sans la débrouille. Les petits métiers de rue pour arrondir les fins de mois. Les cubains ont souvent deux métiers, un infirmier à l'hopital sera taxi avec un bibis-taxis qu'il partagera avec un frère. Aujourd’hui les cartes de rationnement existent toujours pour une grande partie de la population, les salariés sont ceux de l’état,  les salaires dérisoires, les entreprises appartiennent à l’Etat, les richesses pour la plus grande partie sont réparties, redistribuées. Cette société est si contrôlée  par ce Parti Unique depuis plus d’un demi siècle qu'ils ne peuvent vivre sans la débrouille.
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Les petits métiers de rue pour arrondir les fins de mois. Les cubains ont souvent deux métiers, un infirmier à l'hopital sera taxi avec un bibis-taxis qu'il partagera avec un frère. Aujourd’hui les cartes de rationnement existent toujours pour une grande partie de la population, les salariés sont ceux de l’état, les salaires dérisoires, les entreprises appartiennent à l’Etat, les richesses pour la plus grande partie sont réparties, redistribuées. Cette société est si contrôlée par ce Parti Unique depuis plus d’un demi siècle qu'ils ne peuvent vivre sans la débrouille.

On vit dans la rue, on fait griller un cochon sur un trottoir, on voit un cours de gymnastique sur le Prado, on entend dans une cours des musiciens répéter ou des danseurs s’entrainer, entre deux fenêtres on voit des élèves studieux entassés. La musique est là aussi partout, discrète, spontanée, improvisée, elle enchante les oreilles. Mélange de percussions africaines et guitares espagnoles, accompagnées de chanteurs et surtout de sourires. Certains groupes nous ont émus énormément.

Ils sont terriblement accueillants, Ils rêvent et donneraient leur chemise ou leur dîner simplement par amitié.

Cuba, La HavaneCuba, La HavaneCuba, La Havane
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28 février 2016 7 28 /02 /février /2016 16:25
Le Ché sur tous les murs, les slogans prônent les succès de la Révolution et les bienfaits du gouvernement communiste totaltaire: "La révolution, une garantie unique d'être libre et indépendant", " la sécurité et l'unité des cubains", "Nous vaincrons"....Le Ché sur tous les murs, les slogans prônent les succès de la Révolution et les bienfaits du gouvernement communiste totaltaire: "La révolution, une garantie unique d'être libre et indépendant", " la sécurité et l'unité des cubains", "Nous vaincrons"....Le Ché sur tous les murs, les slogans prônent les succès de la Révolution et les bienfaits du gouvernement communiste totaltaire: "La révolution, une garantie unique d'être libre et indépendant", " la sécurité et l'unité des cubains", "Nous vaincrons"....

Le Ché sur tous les murs, les slogans prônent les succès de la Révolution et les bienfaits du gouvernement communiste totaltaire: "La révolution, une garantie unique d'être libre et indépendant", " la sécurité et l'unité des cubains", "Nous vaincrons"....

C’est aussi tout ce passé tellement présent, l'effigie du Che est partout, son visage mais aussi ses citations, pour édifier les foules, émuler la ferveur patriotique et révolutionnaire, sur les murs, les devantures, les étals des marchés, les cubains vivent encore avec.  Castro et sa propagande s’étale sur les bords de route, les frères Castro sont toujours au pouvoir et le régime révolutionnaire combat toujours autant le monde capitaliste.. Ils respectent leur histoire et ont appris à vivre avec. Ils ont peur de demain et sont impatiens. Fidel Castro suscite un grand respect et les cubains ont un grand sentiment patriotique.C’est aussi tout ce passé tellement présent, l'effigie du Che est partout, son visage mais aussi ses citations, pour édifier les foules, émuler la ferveur patriotique et révolutionnaire, sur les murs, les devantures, les étals des marchés, les cubains vivent encore avec.  Castro et sa propagande s’étale sur les bords de route, les frères Castro sont toujours au pouvoir et le régime révolutionnaire combat toujours autant le monde capitaliste.. Ils respectent leur histoire et ont appris à vivre avec. Ils ont peur de demain et sont impatiens. Fidel Castro suscite un grand respect et les cubains ont un grand sentiment patriotique.C’est aussi tout ce passé tellement présent, l'effigie du Che est partout, son visage mais aussi ses citations, pour édifier les foules, émuler la ferveur patriotique et révolutionnaire, sur les murs, les devantures, les étals des marchés, les cubains vivent encore avec.  Castro et sa propagande s’étale sur les bords de route, les frères Castro sont toujours au pouvoir et le régime révolutionnaire combat toujours autant le monde capitaliste.. Ils respectent leur histoire et ont appris à vivre avec. Ils ont peur de demain et sont impatiens. Fidel Castro suscite un grand respect et les cubains ont un grand sentiment patriotique.

C’est aussi tout ce passé tellement présent, l'effigie du Che est partout, son visage mais aussi ses citations, pour édifier les foules, émuler la ferveur patriotique et révolutionnaire, sur les murs, les devantures, les étals des marchés, les cubains vivent encore avec. Castro et sa propagande s’étale sur les bords de route, les frères Castro sont toujours au pouvoir et le régime révolutionnaire combat toujours autant le monde capitaliste.. Ils respectent leur histoire et ont appris à vivre avec. Ils ont peur de demain et sont impatiens. Fidel Castro suscite un grand respect et les cubains ont un grand sentiment patriotique.

Cienfuego, la baie est gigantesque, le rivage de Punta Gorda nous accueille avec ses maisons à bardeaux et ses palais à tourelles, c’est l’ancien quartier huppé, c’est leur capitale de province. Elle témoigne du goût pour l’apparat des années 20. On retrouve les origines francophiles et européennes que louis le Clouet a donné comme architecte.

Benny Mouret dans les années 40 a redonné à Cienfuego son âme africaine par sa musique.

Le Yacht Club de Cienfuego, le mouillage se trouve juste devant      et la Place MarteLe Yacht Club de Cienfuego, le mouillage se trouve juste devant      et la Place Marte

Le Yacht Club de Cienfuego, le mouillage se trouve juste devant et la Place Marte

A Cienfuego le ravitaillement y est vraiment facile avec un beau marché de fruits, légumes, viandes et pains frais, bon d’accord il n'y a pas de fraises...il y a même une banque et un distributeur. Cette ville est beaucoup plus calme, après le passage de Santiago, et le décor y est superbe encore. Nous aimons aller et venir en bicis-taxis, charrette ou moto taxi, trainer dans les rues aux heures moins chaudes et suivre le rythme des autochtones que nous avons appelé « cuba time », attendre tranquillement, faire la queue, ne pas râler, écouter, ne pas comprendre !!!!

Nous laisserons le bateau quelques jours au mouillage pour aller à la Havanne et Trinidad.

Nos amis Willy Cub ont laissé eux leur bateau à Cacilda où semble t’il il y a une nouvelle marina très bien et tout près de Trinidad (un petit inconvénient les moustiques...)

A Cienfuego, en sortant de la marina vous trouverez peut être Dario près du Yacht Club aux deux dômes verts prêt à vous trouver une voiture pas chère pour vos ballades il semble assez précis et honnête. Le personnel de la marina est aussi très serviable, combinard et utile pour vous aider.

les bicis-taxis avec Colette et Basile   -  La promenade du  Malécone en charrette  -  On se deplace beaucoup à  chevalles bicis-taxis avec Colette et Basile   -  La promenade du  Malécone en charrette  -  On se deplace beaucoup à  chevalles bicis-taxis avec Colette et Basile   -  La promenade du  Malécone en charrette  -  On se deplace beaucoup à  cheval

les bicis-taxis avec Colette et Basile - La promenade du Malécone en charrette - On se deplace beaucoup à cheval

Transformation d'un vélo en mobilette, quelle ingénuosité!Transformation d'un vélo en mobilette, quelle ingénuosité!Transformation d'un vélo en mobilette, quelle ingénuosité!

Transformation d'un vélo en mobilette, quelle ingénuosité!

Une calèche aussi avec Pédro qui a rempli nos bouteilles de gaz (Cienfuego était en rupture de stock de gaz), il est extrêmement gentil, serviable mais par contre beaucoup moins précis. Une petite restriction néanmoins par le fait des difficultés du pays ou de Pedro car il nous a aidé à prendre une carte de téléphone locale avec son adresse qui s’est avérée indisponible à utiliser après 2 semaines… Hummm… qui en a trouvé le bénéfice?

A Cienfuego nous avons tout trouvé et pu faire un vrai ravitaillement avec de bons produits facilement.

N’oubliez pas le visa doit être renouvelé tous les mois et trois mois maxi. Pour ce faire il faut acheter des timbres 25cuc à la banque, avoir sa carte vital et une assurance santé et rapatriement (celle de la carte de crédit fait l’affaire mais il faut l’avoir imprimée). Le renouvellement se fait beaucoup plus simplement à Cayo Largo.

Notre capitaine restera à bord. Avec la famille et des amis nous sommes allés trainer à la Havanne, chercher des réponses au système politique, l’histoire du Che et des Castro. 50 ans après la révolution et un régime communiste. Entre la réalité, la littérature, les documents et le ressenti des citoyens, il faut faire le tri. Pourquoi en dire plus. Ce qui est certain c’est que l’ouverture du pays est attendu, il fait peur, il inquiète, on n’ose pas en parler et exprimer ses sentiments, on raconte un peu tout et n'importe quoi. Comment vont ils jouer cette nouvelle carte dans leur culture. Ce qui est certain c’est qu’ils ont tant à faire et que tout est très nouveau pour eux.Notre capitaine restera à bord. Avec la famille et des amis nous sommes allés trainer à la Havanne, chercher des réponses au système politique, l’histoire du Che et des Castro. 50 ans après la révolution et un régime communiste. Entre la réalité, la littérature, les documents et le ressenti des citoyens, il faut faire le tri. Pourquoi en dire plus. Ce qui est certain c’est que l’ouverture du pays est attendu, il fait peur, il inquiète, on n’ose pas en parler et exprimer ses sentiments, on raconte un peu tout et n'importe quoi. Comment vont ils jouer cette nouvelle carte dans leur culture. Ce qui est certain c’est qu’ils ont tant à faire et que tout est très nouveau pour eux.

Notre capitaine restera à bord. Avec la famille et des amis nous sommes allés trainer à la Havanne, chercher des réponses au système politique, l’histoire du Che et des Castro. 50 ans après la révolution et un régime communiste. Entre la réalité, la littérature, les documents et le ressenti des citoyens, il faut faire le tri. Pourquoi en dire plus. Ce qui est certain c’est que l’ouverture du pays est attendu, il fait peur, il inquiète, on n’ose pas en parler et exprimer ses sentiments, on raconte un peu tout et n'importe quoi. Comment vont ils jouer cette nouvelle carte dans leur culture. Ce qui est certain c’est qu’ils ont tant à faire et que tout est très nouveau pour eux.

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27 février 2016 6 27 /02 /février /2016 15:22
Garde côte de la Baie de Pilon, visite sympatique.
Garde côte de la Baie de Pilon, visite sympatique.

Les Jardin de la Reine à Cabo Cruz : à chaque halte, un garde, sympatiue, viendra en barque à la rame pour contrôler vos papiers, vous demander peut être une petite pièce. "d'où arrivez vous? où allez vous?" certains pourront prendre cela pour un contrôle régulier et d'autres pour un peu de surveillance.

Ils sont charmants et remplissent leurs cahiers d'écolier de votre identité.

Garde côte de la Baie du pilon et Cabo Cruz, village de pêcheurs.Garde côte de la Baie du pilon et Cabo Cruz, village de pêcheurs.Garde côte de la Baie du pilon et Cabo Cruz, village de pêcheurs.

Garde côte de la Baie du pilon et Cabo Cruz, village de pêcheurs.

Entre temps les pêcheurs accompagnateurs de notre garde côte, vous apporterons ...à la «chuchu » et à la nage, des œufs, des tomates, des oignons, du poisson, des langoustes, planqués sous leurs tee shirts, en échange de votre bon cœur et de ce que vous pouvez leur donner ... . Très très belles rencontres et jolie halte.

Baie de PilonBaie de Pilon

Baie de Pilon

Baie du Pilon, à droite, adorable petit village où nous y avons rencontré que de la gentillesse. Dans la première petite maison bleue, on nous a offert des langoustes, des œufs et des tomates, ce qui est l’essentiel de notre alimentation depuis notre arrivée. Bien entendu ces rencontres favorisent les échanges de ce que nous avons à leur offrir: Tee shirt, livres d'enfants, produits d'entretien, café, huile...ce qui manque à Cuba ou qui y est bien cher. C'est un moment d'échange, de rires et de complicité simple.

Jardins de la Reine,  Cayo Cuervo, Punta Breton, Cayo Chocitto.Jardins de la Reine,  Cayo Cuervo, Punta Breton, Cayo Chocitto.Jardins de la Reine,  Cayo Cuervo, Punta Breton, Cayo Chocitto.

Jardins de la Reine, Cayo Cuervo, Punta Breton, Cayo Chocitto.

Cabo Cruz, un beau mouillage et RE langoustes

Après dans les Jardin de la Reine il n’y a plus de douaniers, que des crevettiers qui s’arrêtent pour la nuit dans les cayos. Si vous allez les saluer ils vous rempliront vos seaux de crevettes fraiches.

Passage Piedra grande : beaucoup de courant.

Cayo Cuervo un super abri et des décors magnifiques

Algodon a aussi la réputation d’être un superbe mouillage

A Punta Breton nous sommes rentrés dans le petit chenal avec du courant aussi, les bateau restent souvent juste à droite à l’extérieur ce qui n’est pas plus mal.

Cayo Chicitto, l’abri est top et nous retrouvons des pêcheurs de Calcida qui viennent se reposer en cas de vent NE

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26 février 2016 5 26 /02 /février /2016 10:01
Santiago de CubaSantiago de Cuba

Santiago de Cuba

Les papiers  de douane, sanitaire...ne perdront que 3 heures, après avoir mouillé au point de quarantaine afin qu’une charmante responsable sanitaire vienne nous prendre la température et quelques Cuc (monnaie locale) ,..le rythme cubain est donné.

La marina où l’abri est très bon. Vous y trouvez toutes les informations,vous avez accès à l' eau et  les sanitaires sont propres. Concernant les bus, les taxis pour aller en ville, c'est assez simple (un bus à 9h.30 qui vous dépose en ville pour 25 pesos  à toute blinde .. accrochez vous dans les virages mais comme vous serez serrés vous serez tenus... .(25 pesos = 1/4 de cuc soit environ 25 centimes d’euros. Deux monnaies le pesos Cubano et le convertible). Pour internet c’est un autre sujet cela est très laborieux, il vous faut acheter une carte wifi place de la cathédrale et vous pouvez avec cette carte vous installer dans l’hôtel  d’en face qui capte la borne publique, toujours sur la même place mais soyez patient, en une heure peut être lirez vous vos messages....mais je sais que lorsque vous passerez cela aura certainement progressé. N’achetez pas de carte au faux amis dans la rue vous n’êtes pas certain qu’elles fonctionneront, ne prenez pas de carte de plus d’une heure car elle ne fonctionnent pas dans tous les hôtels.

A la marina pas d’antenne wifi ....uniquement dans la rue et particulièrement sur les places publiques où il se trouve plein de bancs confortables.

Les rues de Santiago, la Maison de Velasquez, la Place centrale et la zone de mouillage des bateauxLes rues de Santiago, la Maison de Velasquez, la Place centrale et la zone de mouillage des bateaux
Les rues de Santiago, la Maison de Velasquez, la Place centrale et la zone de mouillage des bateauxLes rues de Santiago, la Maison de Velasquez, la Place centrale et la zone de mouillage des bateaux

Les rues de Santiago, la Maison de Velasquez, la Place centrale et la zone de mouillage des bateaux

Il est préférable de prendre des euros plutôt que dollars pour le change ....fait à la banque. N’oubliez pas de changer quelques pesos pour les petits marchés locaux et les pourboires par contre pour régler le reste il vous faudra des Cuc.....bonjour l’embrouille des monnaies dans les poches à moins que l’on vous les ai vidées dans la rue...non je rigole ! Quoique ...

Véhicules des années 30 ou 50, de marques américaines ou soviétiques, de vraies pièces de collection.Véhicules des années 30 ou 50, de marques américaines ou soviétiques, de vraies pièces de collection.

Véhicules des années 30 ou 50, de marques américaines ou soviétiques, de vraies pièces de collection.

Sur la place de la cathédrale à Santiago la musique est bien là, sous un porche, dans un recoin, dans un bar, dans une maison de la culture, on répète partout, il suffit de tendre l’oreille et de se laisser guider.

Les vieilles américaines (les autos bien entendu), le bruit, la pollution, les pétarades des moteurs, la fumée des pots d’échappements qui vous piquent les yeux et vous font tousser. C’est un étourdissement.

Les cubains sont très ingénieux, c’est la démerde, ça bricole, ça répare tout, ça rafistole, ils sont très doués sur la réparation de fortune avec presque rien car les magasins de pièces détachées ne sont pas bien achalandés. Ils sont capables de miracles. Nous sommes en plein anachronisme.

Certaines voitures ont leurs moteurs d'origine et s'arrêtent régulièrement pour faire le plein d'huile, d'autres ont des moteurs diesel récents. Les chauffeurs sont si fiers de leurs voitures qu'ils utilisent comme taxi mais aussi pour eux, c'est leur voiture unique pour beaucoup.

Le bateau aussi en prend pour son grade des fumées des usines, de la cimenterie et du souffre, nous repartions bien crasseux et impossible de nettoyer dans cette baie tant l'eau y est polluée.

Et puis le marché de fruits et légumes en bas de Jose ã Saco, tout près du port tous les jours sauf le lundi et les supermarchés vers la Plazza de Marte vous y trouverez ......ce qu il y a !

Nous découvrons les magasins d'Etat. Depuis déjà cinq décennies, la majorité des aliments et des produits d’hygiène sont subventionnés à Cuba, le carnet d’approvisionnement (ou de rationnement) existe toujours mais les cubains ne s'en sortent pas car les quantités distribuées ont bien diminuées. Aujourd'hui ce carnet est un cas unique au monde.

Transport en commun pubique et voitures de collection des années 1925 ou 1950.Transport en commun pubique et voitures de collection des années 1925 ou 1950.
Transport en commun pubique et voitures de collection des années 1925 ou 1950.Transport en commun pubique et voitures de collection des années 1925 ou 1950.
Transport en commun pubique et voitures de collection des années 1925 ou 1950.Transport en commun pubique et voitures de collection des années 1925 ou 1950.

Transport en commun pubique et voitures de collection des années 1925 ou 1950.

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25 février 2016 4 25 /02 /février /2016 14:31
Ile à vache Haïti

De St Martin nous avons fait une navigation de quatre jours jusqu’à l’ile à Vache en Haïti. Nous sommes accueillis par une flottille d’embarcations grées de deux voiles latines, c'est un joli spectacle. Les haïtiens sont de bons marins qui comprennent le vent et font marcher leurs embarcations. A notre arrivée, nous n’avons pas eu besoin de faire de clearence, seul un droit d’ancrage de 5 dollars nous a été officiellement demandé contre un reçu donné par César qui reste à l’écoute sur le canal 9 pour les yachties. Vous y serez accueillis par plein de gamins et adolescents en pirogue qui cherchent un petit boulot, aimeraient vous vendre un fruit ou ce qu’il peut vous trouver sur l'île...

Ballade avec Pipi vers le village de Madame BernardBallade avec Pipi vers le village de Madame BernardBallade avec Pipi vers le village de Madame Bernard

Ballade avec Pipi vers le village de Madame Bernard

Avant que vous n’arriviez au mouillage  de l’Ile à Vache vous aurez certainement aperçu une magnifique plage de sable blanc avec un hôtel. Vous pouvez du mouillage y aller à pieds facilement c’est à 15 minutes en traversant le village, l’endroit est sublime et en plus internet y fonctionnait gratuitement (pas le café).

 

Pipi et nos petits guides  dans la baie a Feret de Port Morgan et l'Hotel Abaka Bay avec sa plage somptuesePipi et nos petits guides  dans la baie a Feret de Port Morgan et l'Hotel Abaka Bay avec sa plage somptuese

Pipi et nos petits guides dans la baie a Feret de Port Morgan et l'Hotel Abaka Bay avec sa plage somptuese

Pipi nous avait été recommandé à juste titre et nous proposera de nous accompagner le lendemain, jour de marché, jusqu’au village de Madame Bernard, situé à une bonne heure de marche, pour 10 dollars. Au retour ce sera avec un bateau local à voile sur lequel nous étions avec les locaux 18 personnes à bord....je vous garantie que les normes de sécurité européennes n’ont pas encore pollué et retiré les initiatives dans ce pays...magnifique.

Le marché de Madame BernardLe marché de Madame Bernard
Le marché de Madame BernardLe marché de Madame Bernard
Le marché de Madame BernardLe marché de Madame Bernard

Le marché de Madame Bernard

Nous repartirons vite car un coup de Nord Est de 40 nœud est annoncé 2 jours plus tard alors nous partons pour Santiago de Cuba.

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20 février 2016 6 20 /02 /février /2016 19:27
Genade mise à l'eau du bateu
Genade mise à l'eau du bateu

De Grenade à Saint Martin

Arrivés seulement en janvier à Grenade, en trois jours le bateau était réarmé, mis à l’eau direction La Martinique où nous y avons accueilli nos amis Marco et Anick. La remontée vers Saint Martin, où nous devions les laisser, fut rapide avec des sots de puce des Saintes au nord de la Guadeloupe. Comme Marco n’avait pas bien visité l’Ile il a préféré en pleine nuit faire un tour dans la camionnette des pompiers jusqu’à l’hôpital suite à une infection. J’avoue que le voyant trembler très fortement sans pouvoir contrôler les tremblements était impressionnant et ne me donnait pas envie de reprendre la mer avec ce shaker vivant .....Bref dès le lendemain le Marco était de retour à bord après quelques bonnes doses d’antibiotiques...... En tous cas il nous a fait un peu peur car nous ne savions pas quoi faire.

Nous repartirons vers La Dominique avec sa traditionnelle ballade en pirogue sur Indian River puis ce sera une remontée nocturne vers Antigua pour saluer Nelson et direction St Martin où nous y ferons un gros avitaillement en prévision de Cuba. Achat d’un nouveau moteur d’annexe.... nous sommes fins prêts. Marc et Annick ont été mis à contribution dans la préparation du bateau.

Grenade avant la mise à l'eau

Grenade avant la mise à l'eau

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